L’alternative à la loi chocolatière proposée par le Conseil fédéral va dans la bonne direction, mais manque encore de matière pour sa mise en œuvre concrète et pour assurer une application d’une solution acceptable.
La Confédération ne doit pas simplement assurer des budgets (qui devront être revu à la hausse), mais également mettre en place des mesures d’accompagnement. La transparence du marché d’importation et d’exportation (quantité et qualité), le recensement des prix de la farine en Suisse et dans l’UE ainsi que le contrôle du trafic de perfectionnement actif doivent faire partie des nouvelles tâches de l’Administration et l’OFAG a vraisemblablement un rôle important à jouer.

Prise de position complète